Visite du château

Nous vous invitons à une promenade virtuelle dans les salles d’apparat du château de Schönbrunn. Explorez les appartements privés du couple impérial François-Joseph et Sisi, ainsi que les salles richement décorées datant de l’époque de Marie-Thérèse.

  1. Sélectionnez d’abord votre tour. Pour l’intérieur du château, vous avez le choix entre le Grand Tour, l’Imperial Tour/Visite guidée François-Joseph, Visite guidée Maria-Thérèse, les State Apartments et les pièces du rez-de-chaussée.
  2. Choisissez une salle du château, puis démarrez votre visite.
Marie Th eresia T or Meidlinger T or Haup t tor Hietziger T or Meiereitor Haup t tor Marie Th eresia T or Meidlinger T or Hietziger T or Meiereitor
Sc h önbrunner Schlossstraße Ti v oligasse Grünbe r gstraße Marie Th eresia T or Meidlinger T or Haup t tor Hietziger T or Meiereitor 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45
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L’Escalier bleu

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Antichambre

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Chambre de l’aide de camp

1

Salle des Gardes

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Salle de billard

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Salle d’audience

4

Cabinet de travail de François-Joseph

Pièce de Ketterl

5

Chambre à coucher de François-Joseph

6

Cabinet à terrasse occidental

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Cabinet de l’escalier

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Cabinet de toilette

9

Chambre à coucher commune

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Salon de l’impératrice

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Salon de Marie-Antoinette

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Salon des portraits des archiduchesses

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Chambre du petit déjeuner

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Salon jaune

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Chambre au Balcon

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Salle des glaces

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Grande salle de Rosa

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Deuxième petite salle de Rosa

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Première petite salle de Rosa

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Salle des Lanternes

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Grande Galerie

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Petite Galerie

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Cabinet chinois rond

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Cabinet chinois ovale

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Salle du Carrousel

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Salle des Cérémonies

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Salon des Chevaux

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Salon bleu chinois

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Salon Vieux-Laque

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Salon Napoléon

31

Chambre aux Porcelaines

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Salon du Million

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Salon des Gobelins

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Bureau de l’archiduchesse Sophie

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Salon rouge

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Cabinet à terrasse oriental

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Chambre riche

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Cabinet de travail de l’archiduc François-Charles

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Salon de l’archiduc François-Charles

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Salle de chasse

1

Les salles Bergl

2

Les Salles blanc et or

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La chapelle du château

4

Musée pour enfants

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L’appartement du Prince héritier

Les salles Bergl

Avec l’âge, Marie-Thérèse souffrait de plus en plus de la chaleur estivale. Pour sa dernière décennie, elle fit donc installer un appartement d’été privé au rez-de-chaussée du château.

Les Salles blanc et or

Avec leur atmosphère inoubliable, les Salles blanc et or forment le cadre idéal pour une grande occasion. Vous pouvez louer ces quatre pièces séparément ou comme un ensemble pour accueillir votre événement. Dîner, concert, cocktail ou présentation : une invitation au château de Schönbrunn est toujours la bienvenue.

La chapelle du château

La chapelle du château de Schönbrunn a conservé la structure et la segmentation architecturale de sa construction d’origine, réalisée vers 1700 par l’architecte Johann Bernhard Fischer von Erlach.

Musée pour enfants

Des roues temporelles te font découvrir la différence entre les enfants impériaux et les enfants du peuple. Dans ce musée, tu peux t’amuser avec les jouets d’autrefois, apprendre le langage de l’éventail (une subtile langue secrète) et dresser la table impériale !

L’appartement du Prince héritier

Au rez-de-chaussée du château, cette enfilade de pièces servait d’appartement au prince héritier Rodolphe, le seul fils de l’empereur François-Joseph et de l’impératrice Élisabeth, lors de ses séjours à Schönbrunn. Elle se situe sur la face orientale du château.

L’Escalier bleu

C’est le plus majestueux de tous les escaliers du château. L’Escalier bleu est aussi l’accès le plus formel aux salles d’apparat et aux appartements privés de la famille impériale : c’est donc pour des raisons symboliques qu’il ne mène qu’à l’étage principal.

Antichambre

Plusieurs pièces s’enfilent entre l’escalier et les appartements privés de François-Joseph et d’Élisabeth dans l’aile occidentale du château. Ces pièces servaient, pour ainsi dire, de zone tampon.

Chambre de l’aide de camp

Les aides de camp étaient des officiers de l’armée placés au service personnel de l’empereur. Plusieurs d’entre eux se succédaient par roulement, pour que ce poste de confiance soit occupé de jour comme de nuit.

Salle des Gardes

C’est dans cette salle qu’étaient postés les gardes chargés de surveiller l’accès aux appartements de l’empereur et de l’impératrice.

Salle de billard

François-Joseph se voyait avant tout comme un officier de son armée. Pour cette raison, les tableaux de grand format qui décorent cette pièce ont pour thématique l’Ordre de Marie-Thérèse, ordre militaire le plus prestigieux de la monarchie habsbourgeoise. 

Salle d’audience

C’est ici que l’empereur recevait les personnes invitées à une audience privée. Plusieurs fois par semaine, il y convoquait également des membres du gouvernement, des militaires de haut grade et des fonctionnaires de la Cour qui venaient lui faire leur rapport.

Cabinet de travail de François-Joseph

De nombreux tableaux et photographies témoignent du mode d'habitat de l’empereur. Au cours de sa longue vie, il accumula dans cette pièce toute une quantité de souvenirs de son épouse Élisabeth, de leurs quatre enfants et de leurs treize petits-enfants.

Pièce de Ketterl

Dans le mur arrière du cabinet de travail, une porte dissimulée mène à la pièce de service du personnel de chambre.

Chambre à coucher de François-Joseph

C’est dans cette chambre que l’empereur mourut le 21 novembre 1916.

Cabinet à terrasse occidental

Cette petite pièce sert de passage vers les appartements de l’impératrice Élisabeth.

Cabinet de l’escalier

Cette salle servait de cabinet d’écriture à Élisabeth. C’est ici qu’elle rédigeait ses lettres, son journal et ses poèmes. On y trouve aussi une partie de sa bibliothèque privée.

Cabinet de toilette

À proximité immédiate de la chambre à coucher, le cabinet de toilette était la pièce la plus intime des appartements de l’impératrice.

Chambre à coucher commune

Cette chambre à coucher fut aménagée pour le couple impérial en 1854, à l’occasion de son mariage.

Salon de l’impératrice

Cette pièce servait de salle de réception à Élisabeth. Son agencement, dans le style du second rococo, est typique de l’aspect d’une salle d’apparat à la Cour viennoise à l’époque de l’empereur François-Joseph.

Salon de Marie-Antoinette

Au temps d’Élisabeth, le salon de Marie-Antoinette servait de salle à manger familiale. C’est ici que se déroulaient les dîners en famille auxquels plus tard, en plus du couple impérial et de leurs enfants, les époux et épouses de ces derniers ainsi que les petits-enfants prendraient également part.

Salon des portraits des archiduchesses

De style néo-rococo, ce salon faisait autrefois partie des appartements d’Élisabeth. Il abrite aujourd’hui une présentation de la fameuse série de portraits des filles de Marie-Thérèse. C’est pourquoi on le nomme également « la chambre des Enfants ».

Chambre du petit déjeuner

Ce petit cabinet doit son aspect accueillant à ses tissus ornés de fleurs, insérés dans des cadres dorés sur les lambris des murs.

Salon jaune

Le Salon jaune marque le début des appartements situés côté jardin du château. Leurs fenêtres offrent une vue époustouflante sur l’axe principal du parc, avec la Gloriette qui culmine tout au bout.

Chambre au Balcon

Les nombreux portraits de la chambre au Balcon représentent Marie-Thérèse et ses enfants. Ils proviennent de l’atelier de Martin van Meytens, un peintre de la Cour.

Salle des glaces

Avec ses somptueux ornements dorés de style rococo, la salle des Glaces prend l’aspect typique d’une salle d’apparat du temps de Marie-Thérèse.

Grande salle de Rosa

Ce groupe de trois salles doit son nom à l’artiste Joseph Rosa qui, dans les années 1760, a exécuté quinze peintures de paysages sur ordre de Marie-Thérèse.

Deuxième petite salle de Rosa

Les salles de Rosa forment un groupe de plusieurs pièces de style assorti, composé d’une grande salle et de deux plus petites.

Première petite salle de Rosa

Les tableaux de Joseph Rosa représentent des paysages idéalisés d’Italie et des Alpes.

Salle des Lanternes

Juste à côté de l’escalier principal nommé l’Escalier bleu, la salle des Lanternes forme l’antichambre de la Grande Galerie, la grande salle de réception du château.

Grande Galerie

Avec sa longueur de 43 mètres et une largeur de près de 10 mètres, la Grande Galerie était le cadre privilégié pour les grands événements de la Cour. L’agencement somptueux de la pièce, avec ses stucs blanc et or et ses fresques peintes au plafond, constitue une véritable œuvre d’art totale de l’époque rococo.

Petite Galerie

La Petite Galerie se situe précisément dans l’axe central du château. Elle servait autrefois aux divertissements de la Cour, tout comme les deux cabinets qui lui sont apposés. 

Cabinet chinois rond

La Petite Galerie est encadrée de part et d’autre par deux merveilles à moitié cachées : deux cabinets en miroir qui se font face, et qui renferment une véritable richesse d’œuvres d’art venues d’Extrême-Orient.

Cabinet chinois ovale

Le Cabinet chinois ovale fait face au Cabinet rond. L’aménagement des deux pièces est très semblable mais elles se distinguent par leur forme.

Salle du Carrousel

La salle du Carrousel servait, pour ainsi dire, de première antichambre : une zone tampon entre la Grande Galerie et les appartements du couple impérial, Marie-Thérèse et François Stéphane, dans l’aile orientale du château.

Salle des Cérémonies

À la Cour de Marie-Thérèse, la salle des Cérémonies servait de seconde antichambre, que l’on appelait également la Grande Antichambre. La souveraine y recevait ses audiences sur son trône à baldaquin. Aujourd’hui, on peut y admirer le plus illustre portrait de Marie-Thérèse : elle pose en « première dame d’Europe » parée d’une précieuse robe en dentelle de Brabant.

Salon des Chevaux

Le salon des Chevaux servait de salle à manger au XIXe siècle. Pour cette raison, on peut y observer aujourd’hui une table dressée pour un banquet de fête. Ce banquet fut reconstitué en s’appuyant sur une vue de la pièce datant du milieu du XIXe siècle.

L’Escalier bleu

C’est le plus majestueux de tous les escaliers du château. L’Escalier bleu est aussi l’accès le plus formel aux salles d’apparat et aux appartements privés de la famille impériale : c’est donc pour des raisons symboliques qu’il ne mène qu’à l’étage principal.

Antichambre

Plusieurs pièces s’enfilent entre l’escalier et les appartements privés de François-Joseph et d’Élisabeth dans l’aile occidentale du château. Ces pièces servaient, pour ainsi dire, de zone tampon.

Chambre de l’aide de camp

Les aides de camp étaient des officiers de l’armée placés au service personnel de l’empereur. Plusieurs d’entre eux se succédaient par roulement, pour que ce poste de confiance soit occupé de jour comme de nuit.

Salle des Gardes

C’est dans cette salle qu’étaient postés les gardes chargés de surveiller l’accès aux appartements de l’empereur et de l’impératrice.

Salle de billard

François-Joseph se voyait avant tout comme un officier de son armée. Pour cette raison, les tableaux de grand format qui décorent cette pièce ont pour thématique l’Ordre de Marie-Thérèse, ordre militaire le plus prestigieux de la monarchie habsbourgeoise. 

Salle d’audience

C’est ici que l’empereur recevait les personnes invitées à une audience privée. Plusieurs fois par semaine, il y convoquait également des membres du gouvernement, des militaires de haut grade et des fonctionnaires de la Cour qui venaient lui faire leur rapport.

Cabinet de travail de François-Joseph

De nombreux tableaux et photographies témoignent du mode d'habitat de l’empereur. Au cours de sa longue vie, il accumula dans cette pièce toute une quantité de souvenirs de son épouse Élisabeth, de leurs quatre enfants et de leurs treize petits-enfants.

Pièce de Ketterl

Dans le mur arrière du cabinet de travail, une porte dissimulée mène à la pièce de service du personnel de chambre.

Chambre à coucher de François-Joseph

C’est dans cette chambre que l’empereur mourut le 21 novembre 1916.

Cabinet à terrasse occidental

Cette petite pièce sert de passage vers les appartements de l’impératrice Élisabeth.

Cabinet de l’escalier

Cette salle servait de cabinet d’écriture à Élisabeth. C’est ici qu’elle rédigeait ses lettres, son journal et ses poèmes. On y trouve aussi une partie de sa bibliothèque privée.

Cabinet de toilette

À proximité immédiate de la chambre à coucher, le cabinet de toilette était la pièce la plus intime des appartements de l’impératrice.

Chambre à coucher commune

Cette chambre à coucher fut aménagée pour le couple impérial en 1854, à l’occasion de son mariage.

Salon de l’impératrice

Cette pièce servait de salle de réception à Élisabeth. Son agencement, dans le style du second rococo, est typique de l’aspect d’une salle d’apparat à la Cour viennoise à l’époque de l’empereur François-Joseph.

Salon de Marie-Antoinette

Au temps d’Élisabeth, le salon de Marie-Antoinette servait de salle à manger familiale. C’est ici que se déroulaient les dîners en famille auxquels plus tard, en plus du couple impérial et de leurs enfants, les époux et épouses de ces derniers ainsi que les petits-enfants prendraient également part.

Salon des portraits des archiduchesses

De style néo-rococo, ce salon faisait autrefois partie des appartements d’Élisabeth. Il abrite aujourd’hui une présentation de la fameuse série de portraits des filles de Marie-Thérèse. C’est pourquoi on le nomme également « la chambre des Enfants ».

Chambre du petit déjeuner

Ce petit cabinet doit son aspect accueillant à ses tissus ornés de fleurs, insérés dans des cadres dorés sur les lambris des murs.

Salon jaune

Le Salon jaune marque le début des appartements situés côté jardin du château. Leurs fenêtres offrent une vue époustouflante sur l’axe principal du parc, avec la Gloriette qui culmine tout au bout.

Chambre au Balcon

Les nombreux portraits de la chambre au Balcon représentent Marie-Thérèse et ses enfants. Ils proviennent de l’atelier de Martin van Meytens, un peintre de la Cour.

Salle des glaces

Avec ses somptueux ornements dorés de style rococo, la salle des Glaces prend l’aspect typique d’une salle d’apparat du temps de Marie-Thérèse.

Grande salle de Rosa

Ce groupe de trois salles doit son nom à l’artiste Joseph Rosa qui, dans les années 1760, a exécuté quinze peintures de paysages sur ordre de Marie-Thérèse.

Deuxième petite salle de Rosa

Les salles de Rosa forment un groupe de plusieurs pièces de style assorti, composé d’une grande salle et de deux plus petites.

Première petite salle de Rosa

Les tableaux de Joseph Rosa représentent des paysages idéalisés d’Italie et des Alpes.

Salle des Lanternes

Juste à côté de l’escalier principal nommé l’Escalier bleu, la salle des Lanternes forme l’antichambre de la Grande Galerie, la grande salle de réception du château.

Grande Galerie

Avec sa longueur de 43 mètres et une largeur de près de 10 mètres, la Grande Galerie était le cadre privilégié pour les grands événements de la Cour. L’agencement somptueux de la pièce, avec ses stucs blanc et or et ses fresques peintes au plafond, constitue une véritable œuvre d’art totale de l’époque rococo.

Petite Galerie

La Petite Galerie se situe précisément dans l’axe central du château. Elle servait autrefois aux divertissements de la Cour, tout comme les deux cabinets qui lui sont apposés. 

Cabinet chinois rond

La Petite Galerie est encadrée de part et d’autre par deux merveilles à moitié cachées : deux cabinets en miroir qui se font face, et qui renferment une véritable richesse d’œuvres d’art venues d’Extrême-Orient.

Cabinet chinois ovale

Le Cabinet chinois ovale fait face au Cabinet rond. L’aménagement des deux pièces est très semblable mais elles se distinguent par leur forme.

Salle du Carrousel

La salle du Carrousel servait, pour ainsi dire, de première antichambre : une zone tampon entre la Grande Galerie et les appartements du couple impérial, Marie-Thérèse et François Stéphane, dans l’aile orientale du château.

Salle des Cérémonies

À la Cour de Marie-Thérèse, la salle des Cérémonies servait de seconde antichambre, que l’on appelait également la Grande Antichambre. La souveraine y recevait ses audiences sur son trône à baldaquin. Aujourd’hui, on peut y admirer le plus illustre portrait de Marie-Thérèse : elle pose en « première dame d’Europe » parée d’une précieuse robe en dentelle de Brabant.

Salon des Chevaux

Le salon des Chevaux servait de salle à manger au XIXe siècle. Pour cette raison, on peut y observer aujourd’hui une table dressée pour un banquet de fête. Ce banquet fut reconstitué en s’appuyant sur une vue de la pièce datant du milieu du XIXe siècle.

Salon bleu chinois

En entrant dans le Salon bleu chinois, vous pénétrez dans les appartements de Marie-Thérèse et de son époux François Stéphane : une série de pièces qui se distinguent par leur aménagement tout particulièrement précieux.

Salon Vieux-Laque

Le salon Vieux-Laque compte parmi les pièces les plus significatives de Schönbrunn d’un point de vue de l’histoire de l’art. L’impression d’ensemble, particulièrement fastueuse, est due avant tout aux panneaux de laque noire venus de Chine.

Salon Napoléon

La pièce aujourd’hui connue sous le nom de « salon Napoléon » fit plusieurs fois l’objet d’un réaménagement au cours du XIXe siècle. Lors de sa restauration en 2007, on décida de rendre visibles ces différentes étapes historiques et de les présenter comme dans un musée.

Chambre aux Porcelaines

Cette petite chambre servait de cabinet d’écriture privé à Marie-Thérèse. Il s’agit d’une pièce particulièrement intime, témoin des goûts personnels de l’impératrice. Non seulement sa décoration suit le penchant de Marie-Thérèse pour la mode des chinoiseries, mais elle a même été réalisée en partie par des membres de sa famille.

Salon du Million

La décoration du salon du Million est particulièrement coûteuse et raffinée. Il fait partie d’une série de salles prévues à des fins cérémonielles, prescrites par les mœurs de la Cour de Vienne. C’est dans cette pièce, autrefois nommée salle des Glaces, que Marie-Thérèse donnait ses audiences privées.

Salon des Gobelins

Ce ne sont pas seulement les murs, mais aussi les fauteuils qui sont recouverts de précieuses tapisseries : chacun des six dossiers représente deux mois de l’année, ainsi que les signes du zodiaque.

Bureau de l’archiduchesse Sophie

Mère de François-Joseph, l’archiduchesse Sophie était une femme pleine d’ambition. Elle poursuivit avec ténacité, et avec succès, son dessein d’assurer le trône d’Autriche à son fils. Mais elle fut aussi la principale conseillère politique de ce dernier : si bien que ses contemporains la qualifiaient de « seul homme à la Cour de Vienne. »

Salon rouge

Appelée aujourd’hui Salon rouge, cette pièce affiche un aspect typique de la fin du règne de François-Joseph. Ce qui la caractérise, c’est le damas de soie rouge au décor d’ananas (son motif central rappelle ce fruit exotique) qui tapisse les panneaux muraux et recouvre les sièges. Ce tissu était connu sous le nom de « damas impérial ».

Cabinet à terrasse oriental

Dans certains textes de l’époque, cette petite pièce porte également le nom de cabinet aux Fleurs, en raison des guirlandes de fleurs peintes sur ses murs.

Chambre riche

La « Chambre riche » porte bien son nom : c’est ici qu’est exposé le lit de parade de Marie-Thérèse.

Cabinet de travail de l’archiduc François-Charles

Les tableaux de ce salon nous font découvrir le cercle familial de Marie-Thérèse.

Salon de l’archiduc François-Charles

Une porte vitrée permet un regard dans ce salon d’angle, décoré de portraits grandeur nature des enfants de Marie-Thérèse.

Salle de chasse

La salle de chasse vient clore le circuit de l’étage principal du château. Elle nous rappelle les origines de Schönbrunn en tant que pavillon de chasse impérial.

L’Escalier bleu

C’est le plus majestueux de tous les escaliers du château. L’Escalier bleu est aussi l’accès le plus formel aux salles d’apparat et aux appartements privés de la famille impériale : c’est donc pour des raisons symboliques qu’il ne mène qu’à l’étage principal.

Première petite salle de Rosa

Les tableaux de Joseph Rosa représentent des paysages idéalisés d’Italie et des Alpes.

Salle des Lanternes

Juste à côté de l’escalier principal nommé l’Escalier bleu, la salle des Lanternes forme l’antichambre de la Grande Galerie, la grande salle de réception du château.

Grande Galerie

Avec sa longueur de 43 mètres et une largeur de près de 10 mètres, la Grande Galerie était le cadre privilégié pour les grands événements de la Cour. L’agencement somptueux de la pièce, avec ses stucs blanc et or et ses fresques peintes au plafond, constitue une véritable œuvre d’art totale de l’époque rococo.

Petite Galerie

La Petite Galerie se situe précisément dans l’axe central du château. Elle servait autrefois aux divertissements de la Cour, tout comme les deux cabinets qui lui sont apposés. 

Cabinet chinois rond

La Petite Galerie est encadrée de part et d’autre par deux merveilles à moitié cachées : deux cabinets en miroir qui se font face, et qui renferment une véritable richesse d’œuvres d’art venues d’Extrême-Orient.

Cabinet chinois ovale

Le Cabinet chinois ovale fait face au Cabinet rond. L’aménagement des deux pièces est très semblable mais elles se distinguent par leur forme.

Salle du Carrousel

La salle du Carrousel servait, pour ainsi dire, de première antichambre : une zone tampon entre la Grande Galerie et les appartements du couple impérial, Marie-Thérèse et François Stéphane, dans l’aile orientale du château.

Salle des Cérémonies

À la Cour de Marie-Thérèse, la salle des Cérémonies servait de seconde antichambre, que l’on appelait également la Grande Antichambre. La souveraine y recevait ses audiences sur son trône à baldaquin. Aujourd’hui, on peut y admirer le plus illustre portrait de Marie-Thérèse : elle pose en « première dame d’Europe » parée d’une précieuse robe en dentelle de Brabant.

Salon des Chevaux

Le salon des Chevaux servait de salle à manger au XIXe siècle. Pour cette raison, on peut y observer aujourd’hui une table dressée pour un banquet de fête. Ce banquet fut reconstitué en s’appuyant sur une vue de la pièce datant du milieu du XIXe siècle.

L’Escalier bleu

C’est le plus majestueux de tous les escaliers du château. L’Escalier bleu est aussi l’accès le plus formel aux salles d’apparat et aux appartements privés de la famille impériale : c’est donc pour des raisons symboliques qu’il ne mène qu’à l’étage principal.

Première petite salle de Rosa

Les tableaux de Joseph Rosa représentent des paysages idéalisés d’Italie et des Alpes.

Salle des Lanternes

Juste à côté de l’escalier principal nommé l’Escalier bleu, la salle des Lanternes forme l’antichambre de la Grande Galerie, la grande salle de réception du château.

Grande Galerie

Avec sa longueur de 43 mètres et une largeur de près de 10 mètres, la Grande Galerie était le cadre privilégié pour les grands événements de la Cour. L’agencement somptueux de la pièce, avec ses stucs blanc et or et ses fresques peintes au plafond, constitue une véritable œuvre d’art totale de l’époque rococo.

Petite Galerie

La Petite Galerie se situe précisément dans l’axe central du château. Elle servait autrefois aux divertissements de la Cour, tout comme les deux cabinets qui lui sont apposés. 

Cabinet chinois rond

La Petite Galerie est encadrée de part et d’autre par deux merveilles à moitié cachées : deux cabinets en miroir qui se font face, et qui renferment une véritable richesse d’œuvres d’art venues d’Extrême-Orient.

Cabinet chinois ovale

Le Cabinet chinois ovale fait face au Cabinet rond. L’aménagement des deux pièces est très semblable mais elles se distinguent par leur forme.

Salle du Carrousel

La salle du Carrousel servait, pour ainsi dire, de première antichambre : une zone tampon entre la Grande Galerie et les appartements du couple impérial, Marie-Thérèse et François Stéphane, dans l’aile orientale du château.

Salle des Cérémonies

À la Cour de Marie-Thérèse, la salle des Cérémonies servait de seconde antichambre, que l’on appelait également la Grande Antichambre. La souveraine y recevait ses audiences sur son trône à baldaquin. Aujourd’hui, on peut y admirer le plus illustre portrait de Marie-Thérèse : elle pose en « première dame d’Europe » parée d’une précieuse robe en dentelle de Brabant.

Salon des Chevaux

Le salon des Chevaux servait de salle à manger au XIXe siècle. Pour cette raison, on peut y observer aujourd’hui une table dressée pour un banquet de fête. Ce banquet fut reconstitué en s’appuyant sur une vue de la pièce datant du milieu du XIXe siècle.

Salon bleu chinois

En entrant dans le Salon bleu chinois, vous pénétrez dans les appartements de Marie-Thérèse et de son époux François Stéphane : une série de pièces qui se distinguent par leur aménagement tout particulièrement précieux.

Salon Vieux-Laque

Le salon Vieux-Laque compte parmi les pièces les plus significatives de Schönbrunn d’un point de vue de l’histoire de l’art. L’impression d’ensemble, particulièrement fastueuse, est due avant tout aux panneaux de laque noire venus de Chine.

Salon Napoléon

La pièce aujourd’hui connue sous le nom de « salon Napoléon » fit plusieurs fois l’objet d’un réaménagement au cours du XIXe siècle. Lors de sa restauration en 2007, on décida de rendre visibles ces différentes étapes historiques et de les présenter comme dans un musée.

Chambre aux Porcelaines

Cette petite chambre servait de cabinet d’écriture privé à Marie-Thérèse. Il s’agit d’une pièce particulièrement intime, témoin des goûts personnels de l’impératrice. Non seulement sa décoration suit le penchant de Marie-Thérèse pour la mode des chinoiseries, mais elle a même été réalisée en partie par des membres de sa famille.

Salon du Million

La décoration du salon du Million est particulièrement coûteuse et raffinée. Il fait partie d’une série de salles prévues à des fins cérémonielles, prescrites par les mœurs de la Cour de Vienne. C’est dans cette pièce, autrefois nommée salle des Glaces, que Marie-Thérèse donnait ses audiences privées.

Salon des Gobelins

Ce ne sont pas seulement les murs, mais aussi les fauteuils qui sont recouverts de précieuses tapisseries : chacun des six dossiers représente deux mois de l’année, ainsi que les signes du zodiaque.

Bureau de l’archiduchesse Sophie

Mère de François-Joseph, l’archiduchesse Sophie était une femme pleine d’ambition. Elle poursuivit avec ténacité, et avec succès, son dessein d’assurer le trône d’Autriche à son fils. Mais elle fut aussi la principale conseillère politique de ce dernier : si bien que ses contemporains la qualifiaient de « seul homme à la Cour de Vienne. »

Salon rouge

Appelée aujourd’hui Salon rouge, cette pièce affiche un aspect typique de la fin du règne de François-Joseph. Ce qui la caractérise, c’est le damas de soie rouge au décor d’ananas (son motif central rappelle ce fruit exotique) qui tapisse les panneaux muraux et recouvre les sièges. Ce tissu était connu sous le nom de « damas impérial ».

Cabinet à terrasse oriental

Dans certains textes de l’époque, cette petite pièce porte également le nom de cabinet aux Fleurs, en raison des guirlandes de fleurs peintes sur ses murs.

Chambre riche

La « Chambre riche » porte bien son nom : c’est ici qu’est exposé le lit de parade de Marie-Thérèse.

Cabinet de travail de l’archiduc François-Charles

Les tableaux de ce salon nous font découvrir le cercle familial de Marie-Thérèse.

Salon de l’archiduc François-Charles

Une porte vitrée permet un regard dans ce salon d’angle, décoré de portraits grandeur nature des enfants de Marie-Thérèse.

Salle de chasse

La salle de chasse vient clore le circuit de l’étage principal du château. Elle nous rappelle les origines de Schönbrunn en tant que pavillon de chasse impérial.

Les salles Bergl

Avec l’âge, Marie-Thérèse souffrait de plus en plus de la chaleur estivale. Pour sa dernière décennie, elle fit donc installer un appartement d’été privé au rez-de-chaussée du château.

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